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  • Roses – 12 janvier Foix

    Roses – 12 janvier Foix

    roses

    Dernier épisode de la Guerre des Deux-Roses écrite vers 1592 « Richard III » raconte l’ascension d’un tyran, anéantissant sa famille pour accéder au trône. Mais nul besoin de connaître la pièce pour entrer dans le spectacle de Nathalie Béasse, inspiré par cette histoire de famille qui contient à ses yeux tous les ingrédients de la tragicomédie. Sans en modifier la trame narrative, elle n’en garde que les traits essentiels au sein d’un montage choral de scènes jouées, chantées et dansées.

    De la Cour à la Guerre, de la table de banquet à la table des négociations, chacun est tour à tour prédateur et proie, s’échangeant les rôles dans une sarabande où l’humour l’envie à la cruauté de l’amour et du pouvoir.

    Nathalie Béasse compose sous nos yeux une fresque visuelle et sonore où les archétypes du théâtre shakespearien sont autant de paysages saisissants par leur puissance physique et onirique. Projection mentale d’une pièce qui n’existerait que dans ses fulgurances, fragments d’un rêve éveillé, « Roses » réinvente en toute liberté l’acte théâtral.

    conception, mise en scène et scénographie Nathalie Béasse

    Crédit photo : Wilfried Thierry

    Mardi 12 Janvier 2016 à 20h45

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • Guillaume Lopez, Recuerdos – La Retirada et l’exil – 12 décembre Foix

    Guillaume Lopez, Recuerdos – La Retirada et l’exil – 12 décembre Foix

    Guillaume Lopez Recuerdos – La Retirada et l'exil Ariège Pyrénées

    2014 marque les soixante-quinze ans de la Retirada, l’exil des républicains espagnols.

    Le 7 février 1939 Francesc Vidal quittait l’Espagne, un exilé parmi d’autres. Ils sont des milliers à franchir les Pyrénées, à pied, cet hiver-là. Abandonnant leur famille, leurs amis, leur maison, ils ont pris le risque de changer de vie afin de pouvoir simplement vivre.

    Leur souvenir est le prétexte à cette création qui leur rend un hommage. Ce spectacle musical, théâtral et visuel, est empreint de nostalgie mais aussi d’espoir et de liberté, de poésie, de fougue et de folie.

    « Après ma découverte des musiques de traditions populaires de ma région, Les Pays d’Oc, après avoir eu l’occasion d’écouter des collectages et d’en effectuer quelques-uns, je me suis décidé à interroger mes grands-parents sur leur vie, leur passé, leur histoire. Comment quitter son pays, comment vivre un exil forcé, comment s’intégrer dans un pays que l’on ne connaît pas, avec une langue que l’on ne parle pas ?

    Mes grands-parents paternels sont arrivés en 1958, avec mon père âgé de 3 ans. Mon grand-père paternel, Jose Lopez, a vécu 30 ans en Espagne, à Granada. Tout le reste de sa vie, il a chanté ces chansons de l’Exil, des oeuvres anonymes, ou des standards de variétés espagnoles des répertoires d’Antonio Molina ou Juanito Valderrama, des chansons qui font encore aujourd’hui partie de l’inconscient collectif espagnol pour cette génération, mais oubliées par les plus jeunes. Francesc Vidal mon grand-père maternel, a quitté la Catalogne en 1939, il a écrit ses mémoires, je construis ce spectacle autour de ses souvenirs… » Guillaume Lopez-Vidal

    Un récit conté, chanté, musical et dessiné de Guillaume Lopez-Vidal, d’après le récit de son grand-père Francesc Vidal

    Samedi 12 Décembre 2015 – à 20h45 à l’Estive de Foix

    20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – www.lestive.com

  • Café littéraire,  Jean-Yves Ferri – 10 décembre Foix

    Café littéraire, Jean-Yves Ferri – 10 décembre Foix

     Jean-Yves Ferri Ariège Pyrénées

    Le Papyrus de César lève le voile sur un chapitre manquant des célèbres « Commentaires de la Guerre des Gaules » de Jules César. A l’origine, ce vénérable ouvrage comptait un chapitre intitulé « Revers subis face aux irréductibles Gaulois d’Armorique » qui fut censuré.

    “Le papyrus de César” corrige enfin la vérité historique et nous rappelle l’importance de la liberté d’expression !

    Entretien avec Jean-Yves Ferri, animé par Bernard Lassablière

    ASTERIX – LE PAPYRUS DE CÉSAR
    Editions Albert René
    Jean-Yves Ferri – Didier Conrad

    Jeudi 10 décembre à 19h au bar de l’Estive à Foix

    20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – www.lestive.com

    Les cafés littéraires de l’Estive sont organisés avec la librairie Majuscule Surre et la Bibliothèque Municipale de Foix

     

  • La mélancolie des dragons – 8 décembre Foix

    La mélancolie des dragons – 8 décembre Foix

    La mélancolie des dragons

    Un groupe de hard rockers mange des chips dans une Citroën AX à l’arrêt, radeau échoué au milieu d’un paysage de neige. Tout est calme, le temps s’est arrêté à cause d’une tête de delco défectueuse. Installés dans un état cotonneux, les dragons et un chien vont rencontrer leur Blanche-Neige et déployer pour elle un parc d’attraction minimal et multifonctions.

    Un projecteur, une machine à fumée, quelques perruques, Still loving you des Scorpions joué à la flûte à bec : le merveilleux peut naître de presque rien, à condition de se laisser embarquer dans un rêve commun.

    La mélancolie n’est pas seulement un spleen, elle peut aussi engendrer des images fécondes. « La mélancolie des dragons » est une pièce au succès mythique, créée en 2008 par Philippe Quesne, aujourd’hui directeur du Centre Dramatique National Nanterre-Amandiers. Sa reprise en 2015 est l’occasion de (re)découvrir cette merveille de poésie et d’humour décalé.

    mardi 8 décembre à 20h45 à l’Estive de Foix
    20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – www.lestive.com

    Crédit photos : Martin Argyroglo / Pierre Grosbois

  • B&B par la Compagnie La Zampa – 3 décembre Foix

    B&B par la Compagnie La Zampa – 3 décembre Foix

    B&B par la Compagnie La Zampa Ariège Pyrénées

    B&B est une libre interprétation du conte de Madame de Villeneuve, « La Belle et la Bête ».
    Dans les contes, le chiffre 3 revient sans cesse.
    La reine, le prince, la jeune fille.
    La mère ou marâtre, le père, l’enfant.
    Trois soeurs, trois fées, trois voeux à exaucer….
    Ils seront donc trois sur scène : La Belle, à l’allure de nageuse rétro,
    La Bête, tel un bad boy et La Narratrice, figure bienfaitrice ou complice ambigue.

    Le bad boy va tenter de séduire la Belle, de l’apprivoiser, d’être un peu un super héros, un chanteur de rock ou un danseur de hip hop… Mais ses espoirs resteront vains ! Il ne réussira à faire fondre la Belle que lorsqu’il s’abandonnera dans ses bras.

    Les jeunes spectateurs passent par tous les états : silence devant l’étrange rehaussé par un très beau travail d’éclairage, les premiers frissons devant la peur, les rires pour les efforts de la Bête amoureuse, la retenue devant la rencontre réussie, et enfin le relâchement lors de la sarabande finale.

    Jeudi 3 Décembre 2015
    à 20h45 à l’Estive de Foix
    20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – www.lestive.com

    Crédit photos : Anya Tikhomirova / Sandy Korzekwa

  • Café littéraire avec Pierre Déram – 21 nov Foix

    Café littéraire avec Pierre Déram – 21 nov Foix

     

    Pierre Deram

    Djibouti est le premier roman de Pierre Déram.

    Il raconte les quelques mois que le lieutenant Markus a passés dans cette ville de la corne de l’Afrique, ville métaphorique perdue dans une vaste étendue silencieuse de blancheur pétrifiée, de sel, de gravats et de poussière ; ville desséchée, écrasée de soleil, piégée dans le « premier cercle d’une spirale de mort », et dont les fantômes s’animent dans une nuit grouillant d’« agitation secrète… ».

    « C’est demain, se répète Markus, que je rentre à Paris… ». Pour sa dernière nuit africaine, le jeune militaire se jette à corps perdu dans Djibouti, son implacable désert, son désordre étourdissant, ses putains redoutables, et sa faune de soldats fous d’ivresse et de solitude.

    « Soudain ils ne furent plus rien, pas même un soldat et une putain, mais deux enfants perdus au milieu du monde, serrés l’un contre l’autre sur ce matelas sale, roulant à moitié inconscients, le sang rapide, les yeux brillants, roulant si loin de tout, roulant à n’en plus finir au fond de l’indicible comme deux bagnards sautant d’un train en marche. »

     Entre violence brute et errance onirique dans les bas-fonds de la ville, Pierre Deram met à nu la bouleversante férocité des rapports humains.

    À Djibouti, berceau de l’humanité et barque de perdition, prostituées et légionnaires sont les mêmes enfants de la violence et de la beauté…

    Pierre Deram est né en 1989.

    L’entretien avec l’auteur sera animé par Maryline Lambert

    Les cafés littéraires de l’Estive sont organisés avec la librairie Majuscule Surre et la Bibliothèque Municipale de Foix.

    DJIBOUTI Editions Buchet Chastel
    Pierre Déram
    Samedi  21 novembre à 17h

    Au bar de l’Estive à Foix – Entrée libre

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

  • Trust – Objet nocturne n°24 – 17 et 18 nov Foix

    Trust – Objet nocturne n°24 – 17 et 18 nov Foix

    Trust – Objet nocturne n°24 Ariège Pyrénées

    « … Ils savent bien (c’est désormais convenu) que la loi du marché coule dans leurs veines comme une ordure douce, qu’ils sont contaminés par l’attrait d’une jouissance sans limite à la consommation, par la compétition à outrance qu’impose le système, par l’impératif de réussite afin de ne pas disparaître !
    Au milieu de leurs livres d’art et de philosophie, habités par unwww.arche-editeur.come rage intérieure, ils tentent d’inventer des fictions capables de dénoncer l’ampleur du désastre.
    … Dans des rituels entêtants, ils brulent leurs paupières en s’approchant dangereusement de la lumière ; la lumière qui les magnifiera en faisant d’eux des icônes…
    Parce que plus que tout, habités par une rage de comprendre, ils aimeraient creuser avec ceux auxquels ils tendent un miroir, une conscience plus aiguë du mal qui les assombrit, les éloigne de leur humanité, les dépossède de leur énergie vitale. Ils aimeraient tant opposer au rythme continu des marchés financiers, le droit à des rêveries sur un monde qu’il convient de ré-enchanter. » Solange Oswald

    mardi 17 et mercredi 18 novembre à 20h45

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

    Plus d’info : www.lestive.com

     Crédit photos : C. Raynaud de Lage ou Luc Jennepin

  • Hindi Zahra, Homeland – 13 nov Foix

    Hindi Zahra, Homeland – 13 nov Foix

    Hindi Zahra Homeland Ariège Pyrénées

    A trente ans, Hindi Zahra n’est ni une star académique, ni une étoile filante du jazz vocal. Chez elle, la musique, c’est une histoire de famille, le roman de sa vie. Celle d’une Berbère née au Maroc. Un père militaire et une mère au foyer, comédienne à ses heures et chanteuse reconnue au village, et puis des oncles musiciens, branchés par la scène post-psychédélique du Maroc d’alors. Elle grandit ainsi, à l’écoute des divas du raï et du châabi, façon Rimitti, et divas égyptiennes, genre Oum Khalsoum, entre musique traditionnelle berbère et rock’n’roll du bled, mais aussi non loin du blues malien du grand Ali Farka Touré et de la folk sensuelle d’Ismaël Lo. Avant de traverser la Méditerranée pour rejoindre son père à Paris.

    Cinq ans après « Handmade », son premier disque Victoire de la Musique, « Homeland » a vu le jour dans le pays natal d’Hindi Zahra, le Maroc.

    Elle passe du temps dans des grottes entre Essaouira et Agadir, puis va en haut des montagnes,  avec les paysans berbères qui scrutent l’océan. Hindi Zahra sort de sa retraite, ses chansons l’appellent au large. A Cuba, en Jordanie, en Andalousie, en Egypte, en Italie. Ces voyages et ces expériences rencontrent des passions musicales tenaces (Miriam Makeba, Cesaria Evora, Marvin Gaye ou Nina Simone), et dessinent la route ascensionnelle de Homeland. Elle a terminé l’enregistrement de l’album à Paris, au bout d’une odyssée initiatique qui a duré deux ans et demi. Mais pour l’auditeur, ce n’est que le début du voyage.

    Il s’écoute comme on feuillette un journal de bord, comme on remonte le cours d’une vie. Il y a quelque chose d’essentiel, d’élémentaire dans cet album : la chaleur du soleil, le bruit de l’océan, l’espace, des chansons qui se meuvent comme des marées ou des nuages. On reconnaît des styles musicaux, beaucoup de styles musicaux, mais ils ont oublié leur nom, tous fondus et portés par un tempo chaloupé et capiteux.

    Il y a de la mélancolie dans les chansons d’Hindi Zahra, mais de l’extase dans sa voix, et des mélismes qui font le tour du monde en spirales. Une soul mondiale progressive, qui libère les corps et les coeurs en douceur, en profondeur.

    Ses terres d’origine donnent les climats de ce nouveau disque. «Le Maroc m’a projetée encore vers d’autres cultures.» Elle s’est souvenue des inflexions touaregs des guitares et de la langue berbère. Elle a aussi écrit des textes personnels, tant en anglais qu’en français.

    « Je voulais faire un disque avec beaucoup de musicalité, laisser plus de place aux arrangements.» Débuté au Maroc, continué en Espagne et peaufiné à Paris, son album Homeland respire l’ailleurs. «Dans mon premier disque Handmade (2010) je n’avais pas été jusqu’au bout de ces inspirations. Étant d’origine touareg, j’avais aussi besoin de revisiter cette musique, à ma manière. »

    Crédit photos : Tala Hadid

    Vendredi 13 novembre à 20h45
    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

    Plus d’info : www.lestive.com/

  • Paamath « Le nom de l’eau » – 3, 7 et 10 novembre

    Paamath « Le nom de l’eau » – 3, 7 et 10 novembre

    Paamath Le nom de l'eau Ariège Pyrénées

    Le poème “Le Nom de l’Eau” de l’auteur Louise Léo a inspiré à Paamath la chanson et le titre de son album. De leurs rapports amicaux, est né une complicité artistique déja remarquée dans “Les Objets Pénitents” du précédent album “Gaïndé N’diaye”.

    Un proverbe dit « si tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens ». Laissant à chacun le soin d’interpréter l’adage, Paamath ouvre donc une fenêtre sur cet enfant à la recherche de sa source, voulant connaître le nom de l’eau. Bien des vérités lui sont apparues dans sa quête. Des vérités dénonçant un monde violent où l’affrontement fait rage : appropriation des terres, asservissement de ses peuples ; mais aussi des vérités laissant la part belle à l’amitié, l’amour, ou la reconnaissance de l’enfant envers sa mère…

    Chansons accompagnées à la guitare douze cordes, mélodies et couleurs venues d’ailleurs et d’ici, c’est avec un esprit d’enfance que Paamath est parti à la recherche du “Nom de l’Eau”, pour nous le ramener sous forme de compositions inédites.

    «J’étais comme un petit enfant
    sur le chemin des innocents,
    qui s’est enfui dans les roseaux
    parti chercher le Nom de l’Eau…»

    L’afro-folk de Paamath, c’est de l’émotion à l’état pur !

    Crédit photos : Claudine Vigneron

    Mardi 3 Novembre 2015
    à 20h45 au Mas d’Azil (Salle des fêtes)
    Tarif : C et 7 euros (-13 ans)
    Durée : 1h30

    Samedi 7 Novembre 2015
    à 20h45 à Lavelanet (Marché couvert)
    Tarif : C et spécial 6.5€ (-18 ans)
    Durée : 1h30

    Mardi 10 Novembre 2015
    à 20h45 à Saint-Félix-de-Tournegat (Eglise)
    Tarif : C et 7 euros (-13 ans)
    Durée : 1h30

  • Lo Cor de la Plana – 6 novembre Saint Girons

    Lo Cor de la Plana Ariège Pyrénées

    Réinventer la vocalité méridionale : tel est le credo du Cor de la Plana «choeur de la plaine», célèbre formation de la cité phocéenne.

    Au quartier de La Plaine à Marseille, les voix exceptionnelles de ces chanteurs qui s’accompagnent de simples tambours sur cadre (bendir) ont remis au goût du jour une culture occitane alors ringardisée. « Nous voulions nous réapproprier ce répertoire pour en faire le miroir de ce que nous sommes : des urbains, qui ont grandi au son du rock et du raggamuffin. »

    Chants religieux, chants à danser, couplets protestataires, improvisations, le choeur a porté ses voix de Carnegie Hall à La Ciotat et de l’Olympia aux fêtes de quartier avec le même succès ! Vous êtes prévenus, leurs polyphonies ne ressemblent à rien de déjà entendu. Organiques et subversives elles sont ancrées dans le chaudron méditerranéen le plus contemporain.

    Lo Cor de la Plana visite et rénove le patrimoine populaire, recrée la polyphonie et y instille swing, allégresse et humour, il invente la chanson traditionnelle d’aujourd’hui. Rythme et énergie, suscitent la transe. Un récital pour se dégourdir l’âme et les sens !

    1ère Partie : KNS

    Hamid Khezri aux dôtars
    Neirda aux claviers et machines
    Loïc Schild à la batterie

    Hamid Khezri s’est formé dans la plus pure tradition des bardes plurilingues d’Asie centrale. Accompagné de ses différents dotârs (littéralement « 2 cordes »), il conte les légendes populaires et les épopées guerrières des peuples nomades ou des villes-étapes de la route de la soie. Loic Schild, compositeur et musicien, s’est formé au conservatoire en percussion classique, à la batterie dans le domaine des musiques actuelles, et en Inde, au centre Vijnanakalavedi. Neirda, issu de la scène électro, rejoint le duo « K.S » en 2014 pour former K.N.S. Le pont entre la tradition et les musiques d’aujourd’hui est enfin achevé. Leur musique propose un croisement entre l’Europe et l’Asie centrale, résolument ancré dans les musiques actuelles et dont le descriptif le plus précis est l’Electro-Perse.

    Vendredi 6 Novembre 2015
    à 20h45 à St Girons (salle Max Linder)
    Tarif : C et 7 euros (-13 ans)

    [callout]Stage avec les membres du groupe Lo Cor de la Plana – Samedi 7 novembre de 14h à 17h – à Saint Girons – Ancienne école de Sièvres, avenue Fernand Loubet[/callout]

    Plus d’info : www.lestive.com/

  • Bernardo Sandoval « Romantica Pasión » – 16 octobre Foix

    Bernardo Sandoval « Romantica Pasión » – 16 octobre Foix

    Bernardo Sandova "Romantica Pasión" Ariège Pyrénées

    Avec sa nouvelle création « Romantica pasión » l’alchimiste Bernardo Sandoval, s’affranchit des codes musicaux et explore l’Amour dans tous ses états. Il en savoure toutes les couleurs, et sa palette flamenca, tour à tour passionnelle et tragique, exaltée et fougueuse, sensuelle ou mélancolique s’élargit à tous les registres musicaux tant sur le plan mélodique que rythmique. Un quatuor à cordes vient enrichir la puissance mélodique et l’orchestration, riche de subtils arrangements, dépasse les catégories pour rejoindre l’esprit de Verlaine !

    « De la musique avant toute chose,
    Et pour cela préfère l’Impair
    Plus vague et plus soluble dans l’air,
    Sans rien en lui qui pèse ou qui pose… »

    Espagnol enraciné dans Toulouse depuis cinquante ans, Bernardo Sandoval, guitariste et chanteur a 40 ans de carrière. Depuis toujours, un vent de liberté préside à l’élaboration de sa musique enracinée dans le flamenco, conviant à des noces musicales que lui ont inspiré ses rencontres, en mariant flamenco et bossa nova, tango, jazz, rock et musique classique.

    Vendredi 16 octobre à 20h45 à L’Estive de Foix

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  • FoResT  par la Compagnie Jérôme Thomas – 1, 2 et 3 octobre Foix

    FoResT par la Compagnie Jérôme Thomas – 1, 2 et 3 octobre Foix

    FoResT  par la Compagnie Jérôme Thomas  Ariège Pyrénées

    Avec FoResT nous entrons dans un monde mystérieux, une ballade teintée d’humour et de douceur. Après 30 années de pratique, Jérôme Thomas porte son regard sur une discipline dont il n’a cessé d’explorer le cœur et les frontières. FoResT, à la fois pièce de maturité et renouvellement, est un travail en haute définition qui touche à l’essence de sa pratique.

    C’est aussi une narration mémorielle de l’artiste, qui reconsidère son parcours et questionne le répertoire, guetteur posé au centre de son cirque, épuré. Jongler dans FoResT c’est revenir aux origines du monde, c’est rendre modulable à souhait des formes figées par l’usage.

     Jeudi 1er, vendredi 2 et samedi 3 octobre – 20h45 à Foix (Place du champ de mars)

    L’équipe de l’Estive vous donne Rendez-vous jeudi 1er octobre à 19h45 dans le hall de l’Estive pour un verre d’accueil et le lancement de saison.

    Crédit Photo : Christophe Raynaud de Lage

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